La jeunesse est inculte, paraît-il.
C'est ce qui circule depuis environ trois millénaires
(Eh ouais, même Ciceron y croyait...)
Alors moi, petite chose insignifiante, je me suis dit que çà ne pouvait plus durer!
Du coup je vous fait part de mon dernier coup de coeur littéraire.
La madame s'appelle Justine Lévy,
Et elle écrit divinement bien (selon mes critères fluctuants, naturellement).
Comment vous dire çà?
Par le biais d'auto-fiction, elle nous raconte des morceaux de sa vie dans chacun de ses livres.
Il y a quelques années, j'ai craqué sur Rien de grave,
Et cette année, c'est Mauvaise fille qui a retenu mon attention.
Cette femme écrit comme elle respire,
C'est comme un souffle, plus ou moins saccadé.
Elle est fragile, et paraît souvent être hors de sa propre vie.
Rien de grave nous décrit sa vie après que son fiancé soit parti avec un mannequin; une vie paumée, où plus rien n'est simple; où, à cause des médicaments sur-consommés, il faut repartir de zéro; Ré-apprendre à se connaitre, à savoir ce que l'on aime, ou pas. C'est une sorte de roman de "ré-apprentissage". (Vous les voyez les cheveux de votre prof de français se hérisser au doux son de ce beau néologisme?)
Mauvaise fille, lui, décrit les rapports conflictuels que l'auteur a toujours entretenu avec sa mère. Désormais, sa mère meurt d'un cancer et elle, Justine, va donner la vie. Comme si un être en remplaçait un autre.
Voilà,
C'est juste beau.
Et je vous le conseille.
C'est ce qui circule depuis environ trois millénaires
(Eh ouais, même Ciceron y croyait...)
Alors moi, petite chose insignifiante, je me suis dit que çà ne pouvait plus durer!
Du coup je vous fait part de mon dernier coup de coeur littéraire.
La madame s'appelle Justine Lévy,
Et elle écrit divinement bien (selon mes critères fluctuants, naturellement).
Comment vous dire çà?
Par le biais d'auto-fiction, elle nous raconte des morceaux de sa vie dans chacun de ses livres.
Il y a quelques années, j'ai craqué sur Rien de grave,
Et cette année, c'est Mauvaise fille qui a retenu mon attention.
Cette femme écrit comme elle respire,
C'est comme un souffle, plus ou moins saccadé.
Elle est fragile, et paraît souvent être hors de sa propre vie.
Rien de grave nous décrit sa vie après que son fiancé soit parti avec un mannequin; une vie paumée, où plus rien n'est simple; où, à cause des médicaments sur-consommés, il faut repartir de zéro; Ré-apprendre à se connaitre, à savoir ce que l'on aime, ou pas. C'est une sorte de roman de "ré-apprentissage". (Vous les voyez les cheveux de votre prof de français se hérisser au doux son de ce beau néologisme?)
Mauvaise fille, lui, décrit les rapports conflictuels que l'auteur a toujours entretenu avec sa mère. Désormais, sa mère meurt d'un cancer et elle, Justine, va donner la vie. Comme si un être en remplaçait un autre.
Voilà,
C'est juste beau.
Et je vous le conseille.